En début de semaine, je vous disais que le temps était devenu fou.... et cela se confirme...

Alors que l'on croyait que tout était rentré dans l'ordre pour le week-end. Il faisait beau et le soleil brillait pendant toute la journée de samedi...

Jusqu'à ce que les grondements de tonnerre apportent la pluie -rien d'étonant jusque là- puis: la grêle !

L'épisode a été intense mais assez court. La grêle que vous voyez sur la photo n'a tenu sur la terrasse qu'un petit quart d'heure.

Voilà pour mes considérations météorologiques.

A bientôt, et à vos parapluies !

Pour mettre fin à tous les clichés, non, il ne fait pas toujours beau à Sydney. 

Surtout cette semaine.

Alors que jusqu'à la semaine dernière on pouvait encore se prélasser sous la chaleur de l'été indien et se faire bronzer à la plage, l'automne est maintenant arrivé et avec grand fracas.

Depuis hier matin, lundi 20 avril, c'est la tempête. Tout à commencé avec le déluge, une pluie torrentielle ne s'arrentant pas de tomber depuis près de 48 heures. En réalité, les 24 heures d'hier (entre 9 heures du matin hier et 9 heures du matin aujourd'hui) ont été les 24 heures les plus pluvieuse à Sydney depuis février 2002. 

Puis il y a eu ces rafales de vent à plus de 100km/h et des vagues de plus de 10 m de haut !

La conséquence la plus visible est la floraison de cimetière de parapluies dans toutes les poubelles de la ville. Les pauvres petits parapluies, qui n'ont pas appris à se courber comme les roseaux, se retournent et se brisent dans les mains de leur propriétaire qui les abandonnent ensuite lachement dans la poubelle la plus proche, ou il se retrouve avec des dizaines de ses congénères.

Je dois avouer que je suis assez fière de ne pas encore avoir cassé le mien. Mais je touche du bois.

Des conséquences plus dramatiques sont à déplorer, notament la mort de 3 personnes dans la ville de Dungog, particulièrement touchée par la tempête, au nord de Sydney. De plus, environ 200 000 foyers ont été privés d'électicité dans l'états de New South Wales (ndlr: état de Sydney).

N'est-ce que le début ? L'avenir nous le dira...

Je vous laisse je vais construire mon arche de Noé.

Sources:

-Twitter

-Theconversation.com

 Qu'est-ce la "réputation à la française" en Australie ? Cela signifie que lorsque vous vous présenterez, on déduira immédiatement de votre "cute accent" franchouillard que vous êtes forcément quelqu'un de bon goût, cultivant l'élégance et la sophistication, ayant sa part de mystère et étant un vrai cordon bleu. On vous parlera aussi sans relâche de Paris, cette ville si romantique...

Ça c'était pour les bons côtés; voyons maintenant voir du côté obscure de la force...

Trêve de plaisenteries, en un mot de conclusion, rappellez-vous que où que vous soyez dans le monde, vous représentez la France, alors soyez sympa, laissez des bons souvenirs !

L’Australie a diverses facettes:  villes, côtes, forêts tropicales et déserts. Et si on tend à l’oublier en ville, c’est pourtant l’ ”outback” qui fait la spécificité de l’Australie. Mais êtes vous vraiment prêt pour vous rendre dans ces étendues semi-désertiques et arides ? Test express.

1.    En terme de climat, vous préférez...

    A.    Un rayon de soleil printanier idéal pour prendre un verre en terrasse.

    B.    L’air froid et vivifiant de l’hiver accompagnée d’une bonne couche de poudreuse.

    C.    La canicule .

2. A propos de nos amis les insectes, vous pensez que...

    A.    Tant qu’ils ne piquent pas, tout va bien.

    B.    Vous êtes "insectophobe", même les papillons vous font hurler de terreur !

    C.    Les mouches sont vos meilleures amies.

3.    Quel est votre peintre préferé ?

    A.    Picasso (mais vous êtes ouvert à tous les styles artistiques)

    B.    Michel-Ange (et vous avez l’art abstrait en horreur)

    C.    Peu importe l’individu du moment qu’il s’agit d’un artiste aborigène.

4.    D’ailleurs que savez vous de la culture aborigène ?

    A.    Votre savoir se réduit à ce que contient wikipédia.

    B.    Vous pensez que la culture aborigène est inexistante car pour vous les aborigènes sont des sauvages et des alcooliques.

    C.    Vous avez déjà les rudiments de vocabulaire dans trois dialectes aborigènes différents.

5.    La réaction que vous inspire le mot “géologie” :

    A.    Vous croyez vous rappeler que les plaques terrestres aiment danser la tecktonik.

    B.    Pourquoi s'intéresser à des cailloux ?

    C.    C’est votre passion.

6.    Pour vous l’Uluru, c’est:

    A.    Très rouge et très gros

    B.    Un oiseau ? Un instrument de musique ? Vous donnez votre langue au chat.

    C.    Le rêve de votre vie.

Vous avez une majorité de A:

Il semble que vous ne soyez pas armé pour vivre le restant de vos jours dans le Centre Rouge mais vous serez sûrement bluffé(e) si vous y aller faire une escapade.

Vous avez une majorité de B:

Vous semblez n’avoir aucun argument rationnel pour aller visiter le Centre rouge, cependant c’est parfois en sortant le plus de sa zone de confort que l’on trouve le plus d’intérêt à voyager; alors bousculez vos a priori et confrontez vous au Centre Rouge.

Vous avez un majorité de C:

Vous remplissez tous les critères pour tomber amoureux du Centre rouge, vous ne voudrez plus en repartir.

Article aussi publié sur lepetitjournal.com ce mercredi 15 octobre.

En Australie, les kangourous sont omniprésents : sur les cartes postales, sur les pièces de monnaies, sur les logos des entreprises… Mais pour ce qui est des kangourous en chair et en os, il ne faut pas espèrer pas en rencontrer un par hasard en allant faire vos courses ! Il faut quitter le centre urbain pour rencontrer cette gentille boule de poil qui, plus qu’un simple élément de la faune locale, est le véritable emblème de l’Australie !

Mais en tant que français, une question mérite d’être posée: que vaut le kangourou par rapport à notre galinacé national ? Choisissez votre camp et prenez les paris, le match entre nos emblèmes nationaux est lancé !

A ce stade de la competition, il semble donc difficile de départager l’hiddeux volatile et de l’adorable marsupial… A moins que l’on ajoute un dernier critère, qui ne va pas plaire aux végétariens…

Le coq rafle donc de justesse le point décisif de la victoire :

Cocorico ! Voilà l’honneur national sauf !

N.B: Si vous voulez nourrir des kangourous, pensez à leur santé et ne leur donnez ni pain, ni chips... Offrez leur plutôt des pommes, des bananes et des carottes coupées en petit morceaux, les kangourous ont une toute petite bouche !

Article publié sur lepetitjournal.com le mercredi 1 octobre 2014.